Apporter de l’eau au moulin
L’installation se présente telle un séchoir à l’aplomb du bief alimentant le moulin à papier mais en trahit pourtant le principe : ce qui est suspendu là ne séchera jamais.
Un système de goutte-à goutte irrigue en permanence les éponges qui, gorgées d’eau, s’égouttent en musique.
2009 - Moulin de la Rouzique, Couze-St-Front (Dordogne- FR)
œuvre in-situ, environ 2,50 x 6,60mx 14,00m
Eponges synthétiques, système de goutte à gouttes, métal, pompe
Les hauts-reliefs
Des façons de nuages s’égouttent au dessus de plateaux-paysages suspendus à diverses hauteurs ; le ruissellement converge vers un lac, une mer, un océan… sorte d’illustration poétique du cycle de l’eau, l’installation fait écho, sur un mode mineur, au gigantesque et complexe système de mise en eau des fontaines du parc.
2005 - la Maréchalerie-Centre d’art contemporain-Versailles
Plastique, bois peint, pompe et eau
Dimensions variables
Retour aux sources
Suspendu à la voûte de la glacière du parc, un globe s’égoutte à l’aplomb d’un paysage circulaire, entièrement noir. Evoquant la fonte des glaces, ce dispositif fait écho à l’utilisation de cette architecture souterraine à l’époque classique.
2009 - Glacière du parc d’Orléans-La Source
Œuvre in-situ ; plateau de diamètre 2,50m
bois, plastique, pvc, aluminium, résine, pompe à eau immergeable, eau distillée, peintures (primaire d’accrochage et revêtement élastique Rubson)
Jardin de propreté
Un motif de broderie à la française de l’architecte-graveur Jacques Androuet du Cerceau est très librement interprété sur la place d’honneur et dialogue avec les motifs de buis existants.
2003 - Cité universitaire internationale de Paris Paillasson
- Mairie de Gouarec- côtes d’Armor- (FR)
Sans titre
À un motif librement interprété de broderies à la française répond un bandeau greffé qui dialogue avec les traces de la frise disparue.
Le visiteur se laissera guider entre un périmètre d’épines ou un déambulatoire qui ne mènent nulle part.
2004 - Salon des Emigrés, Oiron (FR)
Au mur : Rameaux d’églantier, crayons de couleur, raphia et mastic à greffer.
au sol : Paillasson
2006 - Espace d’art contemporain A. Malraux- Colmar
Paillasson
Inanimés évolutifs
Apporter de l’eau au moulin
2009 - Les Rives de l'Art, Moulin de la Rouzique, Couze-St-Front, Dordogne (FR)
Les hauts-reliefs
2005 - la Maréchalerie-Centre d’art contemporain-Versailles (FR)
2006 - Galerie Alain le Gaillard-Paris (FR)
2007 - Galerie « La maison de Marijke Schreurs »- Bruxelles- (B)
Retour aux sources
2009 - Glacière du parc d’Orléans-La Source (FR)
Jardin de propreté
2003 - Cité Universitaire Internationale, Paris (FR)
2006 - Mairie de Gouarec- côtes d’Armor (FR)
2021 - Place Choiseul, Tours (FR)
Sans-Titre
2004 - Salon des Émigrés, Château d'Oiron (FR)
Sans-Titre
2006 - Espace d’art contemporain A. Malraux - Colmar (FR)
La Suée du parc (être Garoé)
2019 - Parc de l’abbaye de Jumièges (FR)
Végétale et naturelle
2002 - Serre du parc de Chamarande (FR)
Apporter de l’eau au moulin
2009 - Moulin de la Rouzique, Couze-St-Front (Dordogne- FR)
L’installation se présente telle un séchoir à l’aplomb du bief alimentant le moulin à papier mais en trahit pourtant le principe : ce qui est suspendu là ne séchera jamais.
Un système de goutte-à goutte irrigue en permanence les éponges qui, gorgées d’eau, s’égouttent en musique.
œuvre in-situ, environ 2,50 x 6,60mx 14,00m
Éponges synthétiques, système de goutte à gouttes, métal, pompe
Les hauts-reliefs
2005 - la Maréchalerie-Centre d’art contemporain-Versailles (FR)
2006 - Galerie Alain le Gaillard-Paris (FR)
2007 - Galerie « La maison de Marijke Schreurs »- Bruxelles- (B)
Des façons de nuages s’égouttent au dessus de plateaux-paysages suspendus à diverses hauteurs ; le ruissellement converge vers un lac, une mer, un océan… sorte d’illustration poétique du cycle de l’eau, l’installation fait écho, sur un mode mineur, au gigantesque et complexe système de mise en eau des fontaines du parc.
Nombre d'éléments variables. Plastique, bois peint, pompe et eau
Dimensions variables
Retour aux sources
2009 - Glacière du parc d’Orléans-La Source
Suspendu à la voûte de la glacière du parc, un globe s’égoutte à l’aplomb d’un paysage circulaire, entièrement noir. Évoquant la fonte des glaces, ce dispositif fait écho à l’utilisation de cette architecture souterraine à l’époque classique.
Œuvre in-situ ; plateau de diamètre 2,50m
bois, plastique, pvc, aluminium, résine, pompe à eau immergeable, eau distillée, peintures (primaire d’accrochage et revêtement élastique Rubson)
Jardin de propreté
2003 - Cité universitaire internationale de Paris (FR)
- Mairie de Gouarec- côtes d’Armor- (FR)
2004 - Salon des Emigrés, Oiron (FR)
2006 - Espace d’art contemporain A. Malraux- Colmar (FR)
Un motif de broderie à la française de l’architecte-graveur Jacques Androuet du Cerceau est très librement interprété sur la place d’honneur et dialogue avec les motifs de buis existants.
Au mur : Rameaux d’églantier, crayons de couleur, raphia et mastic à greffer.
au sol : Paillasson
Végétale et naturelle
2002 - Serre du parc de Chamarande
Hearing the desynchronized drip-drip sound created by a modified garden watering system, and seeing the overflowing buckets placed beneath the highly coloured vertical festoons of sponges, the spectator becomes clearly aware of the irrevocable effect of time on the dreams and noblest of ambitions of which this place was the arena.
(Philippe Coubetergues/paris-art.com)
Sponges, nylon thread, drip system, buckets
variable dimensions
La suée du parc (être Garoé)
2019 - Parc de l’abbaye de Jumièges (FR)
Un miracle s’accomplit chaque quart-d’heure : le hêtre transpire et l’eau condense sous son feuillage, remplissant peu à peu un cercle de seaux posés au sol.
A l’instar des arbres-fontaines des îles canaries, le hêtre se tranforme, pour un court instant, en « arbre-saint », le garoé.